Un autre feuilleton d’une histoire amoureuse bien particulière,a captivité l’attention des habitants du quartier Nimbo de Bouaké, le Vendredi 30 Novembre dernier.
La perversion ou autre liberté sentimentale,a vraisemblablement atteint le top niveau dans la capitale de la paix. Depuis quelques temps,nous assistons à des séries de conflits amoureux de tous les genres dans la ville de Bouaké.
Le chapitre des prostituées à peine clos,que s’ouvre celui des homosexuelles. Des lesbiennes du quartier Nimbo se sont signalées dans la soirée du Vendredi 30 Novembre selon les témoignages.Il s’agit des jeunes filles qui s’adonnent à des pratiques sexuelles qualifiées de tabou,par certaines personnes qui la trouve inhumaine. Ces lesbiennes se sont livrées en spectacle pour une histoire de jalousie.
Selon un témoin trouvé sur place,le Vendredi,début du week-end,les filles se retrouvent entre elles comme elles le font habituellement dans un Night-club au quartier Nimbo,non loin du carrefour Saint-Pierre. Entre ces dernières,il y a certaines qui sont des femmes,et d’autres qui se disent être des hommes.Dans les levers de coude,la boisson ingurgitée va provoquer l’enivrement des filles. Aucune ne tient sur ses jambes. C’est ainsi que deux des femmes se sont rendues dans les toilettes pour se mettre à l’aise. C’est alors que l’une des lesbiennes,qui se dit « homme » a suivi sa compagne qui y est allée. Là-bas,les choses vont se passer autrement.
Étant donné qu’elles tardaient à revenir, le « mari » se serait rendu à son tour dans les toilettes pour savoir ce qui se passe.Son constat la laisse sans voix.Un surprenant flagrant délit.Les deux étaient entrain de s’embrasser dans les toilettes. Ce qui va mettre dans tous ses états le sois disant « mari ». Une bagarre va s’en suivre. Vidées du Night-club,elles vont se retrouver au grand carrefour Saint-Pierre de Nimbo et là,les choses vont atteindre un niveau de combat de rue extrême.Elles vont se livrer à une bagarre sans merci.Le prétendu mari (en réalité une fille),va bastonner sa femme jusqu’à lui fracturer le bras gauche. Après un moment d’accalmie, quelques unes des lesbiennes ont accompagné la blessée dans une clinique pour des soins.
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